Constellation – Pièce de Théâtre

« Une relation, des possibilités infinies. Qui, ne s’est jamais demandé :  » Et, si …?  » Et si ce jour-là, si nous avions fait un autre choix ? »

Qui, se retournant sur sa vie, ou pensant à un amour perdu, ne s’est jamais demandé :  » Et, si …?  » Et si ce jour-là, si nous avions fait un autre choix? Et si, à cet instant, la vie en avait décidé autrement ?

Imaginez à présent, qu’il n’existe pas un monde, mais une constellation de mondes déclinant à l’infini les possibles de notre vie. Imaginez, qu’il nous soit donné de pouvoir les vivre et les connaitre tous, comment notre destin en serait-il affecté ?

Une relation, des possibilités infinies.

Cette hypothèse poétique et quantique est le point de départ de Constellations. Basé sur la théorie des cordes, ce texte nous amène à expérimenter les différentes vies de la constellation de possible d’un couple : Marianne et Roland.

Lui est apiculteur, elle est astrophysicienne. Ils se rencontrent à l’occasion d’un barbecue. Le point de départ est très simple, la suite est une succession de scènes qui se répètent mais en introduisant d’habiles variations qui emmènent le spectateur dans l’intimité de ce couple. A travers diverses étapes de la vie de deux êtres qui s’aiment et qui se déchirent, cette narration innovante offre au spectateur la chance de vivre les aléas de la physique quantique sans avoir besoin de la comprendre. Loin d’être un exercice de style, cette pièce intelligente dépeint l’histoire de chaque relation, de chaque choix et non choix. Nick Payne nous permet de revivre des événements, d’ouvrir et de

A travers l’histoire de Roland et Marianne, que rien ne prédisposait à se rencontrer, l’auteur nous fait voyager dans leurs univers parallèles qui sont autant possibles et de variations autour du destin de la relation amoureuse: la rencontre, l’épreuve, la séparation, les retrouvailles. Un périple qui nous rappelle avec humour, poésie et un brin de science que tout reste toujours possible. »

Une incroyable pièce d’avant garde et universelle en même temps, jouée dans la langue de Shakespeare, ce qui ajoutait du piment à la situation !